20 juin 2021 : L’île de Sein (France)

21/06/2021 09:40

Cette nuit, il m’est arrivé un drôle de truc.

1h10 du matin, je me lève pour allez au toilettes.

Sur le chemin du retour, je croise un jeune homme. Je lui dis « bonjour », lui aussi. Puis il revient sur ses pas et me demande si j’ai l’heure. Je lui réponds 1h10. Il me demande si j’ai entendu de la musique, alors je lui réponds qu’il y en avait quand je me suis couchée, vers 22h30. Puis il me dit un truc du genre « j’ai bus quelques verres et ne sais plus où c’est chez moi ». Et ben, j’avais bien remarqué qu’il avait bu quelques verres. Ne sachant pas trop quoi lui répondre, je lui ai simplement dis « alors là, je ne peux pas vous aider ». Puis on s’est dit « au revoir ».

Après coup, j’ai eu des remords car je me dis que j’aurais peut-être put l’aider. Je ne sais pas comment mais le pauvre, j’aurais put essayer.

Qu’auriez-vous fait à ma place ?

Bref, ce matin, le réveil sonne à 7h30.

Le temps est pluvieux aujourd’hui.

Nous devons être à Camaret à 9h10 au plus tard pour prendre possession de nos billets de bateau pour l’île de Sein, qui part à 9h40.

Trouver le bon parking, c’est toute une histoire. Tout le monde se pose la même question qui est de savoir où doit-on se parquer pour prendre le bateau.

Nous voilà donc en route pour l’île de Sein.

La mer est un peu agitée.

Nous accostons sur l’île de Sein sous la pluie. Je me dis que le temps va être long ici avec cette météo pourrie.

Nous sommes accueillis par des goélands au garde-à-vous.

Nous partons à droite, en direction du phare.

Nous passons devant une jolie église.

Nous arrivons à proximité de ce beau phare.

C’est le phare de Goulenez.

Nous continuons en direction de la pointe et passons vers une jolie petite chapelle.

C’est la chapelle St Corentin.

Nous arrivons ensuite vers un amer et des gros rochers.

Nous revenons par l’autre côté de l’île et profitons que la pluie s’arrête pour pic-niquer, assise sur un rocher.

Bon, j’avais les fesses un peu mouillées quand je me suis relevée.

Puis nous sommes arrivées à un petit phare sur un rocher, accessible par une digue.

La mer était assez agitée et c’était magnifique de voir les vagues s’écraser contre ce rocher.

Nous avons continué notre tour de l’île et sommes arrivées vers le village.

C’est très joli ces petites maison alignées.

Nous avons quitté le bord de mer pour emprunter ces petites ruelles étroites.

Nous avons beaucoup marché.

Beaucoup trop pour ma petite Lolita.

Alors j’ai décidé de faire une pause et manger une petite crêpe caramel beurre salé et chantilly.

Il nous restait encore 1 heure 30 avant de prendre le bateau, alors nous avons fait encore un petit tour.

Peu de temps avant de reprendre le bateau, il a commencé de nouveau à bien pleuvoir.

On peut dire que nous avons eu de la chance car nous avons quand-même eu une bonne période d’accalmie, en ce qui concerne la pluie,

Dans le bateau, je me suis installée à l’extérieur, sous le couvert, car je voulais prendre de belles photos des « tas de pois ». Et je préfère aussi être à l’extérieur pour prendre moins de risque avec le Covid.

Mais à peine le bateau parti, la pluie nous atteignaient, même sous le couvert, et je me suis rapidement retrouvée détrempée.

Du coup, j’ai décidé de me lever en essayant de ne pas tomber, car la mer n’était pas calme, et d’aller m’asseoir à l’intérieur.

Rapidement, nous nous sommes toutes les deux endormies et avons fait une petite sieste.

Sur la fin de la traversée, je dois dire que je commençais à avoir un peu la tête qui tourne. Un peu le mal de mer.

Arrivées à Camaret, il pleuvait bien et j’avais envie d’aller manger au restaurant qu’on puisse se réchauffer et se sécher un peu, surtout ma pauvre petite Lolita.

J’ai donc porté ma petite puce, car j’estime qu’elle a déjà beaucoup trop marché aujourd’hui et suis partie à la recherche d’un restaurant.

Mais voilà, nous avons accosté à 17h30 et trouver un restaurant qui fait à manger avant 19 heures est mission impossible.

Que faire ? Aucune envie d’attendre une heure sous la pluie.

Nous découvrons une jolie rue de Camaret.

Je décide de retourner dans la voiture et d’y rester un moment et ensuite trouver une place de parc proche d’un restaurant à 19 heures.

Je trouve un restaurant proche d’une place de parc et nous nous y installons.

J’ai décidé de me faire plaisir avec une entrée, un plat et un désert.

Se sera donc une salade avec crevettes et saumon fumé en entrée, moule marinière aux oignons de Roscoff et un croustillant aux chocolats.

Tout ça avec un breizh cola, le coca cola breton.

C’était bien bon !

De retour au camping, il pleut toujours beaucoup.

Et c’est dans ces moments là que je me dis que j’aimerais trop un bus camping. Car avec mon vieux caddy, je suis obligée de sortir me mouiller pour le remettre en mode nuit (sortir la caisse de transport à Lolita, remettre les rideaux contre les vitres,..) et prendre ce que j’ai besoin qui est sous mon lit, comme par exemple les médicaments à ma petite Lolita.

Sans compter que tout est mouillé.

Selon mon téléphone, ils annoncent ce temps encore demain et mardi. J’espère qu’ils se trompent, car nous avons encore plein de sentiers côtiers à explorer, et jeudi matin on doit quitter la presqu’île de Crozon pour reprendre le chemin de la maison.

D’ailleurs, si quelqu’un a des propositions de lieu à visiter entre la Bretagne et la Suisse, je suis preneuse.