Les voyages d'Isabelle et Lolita - voyager avec son chien
17 Septembre 2021
Ce matin, le soleil est de retour.
Réveil à 9 heures car nous avons un bateau à prendre. Réveil difficile au vu de la nuit un peu difficile et bien trop courte.
Et même qu’aujourd’hui, nous avons la vue sur un petit bout de lac pour déjeuner.
Avant de partir, étendage des habits détrempés d’hier, en espérant que ça sèche.
En route pour aller prendre notre bus.
Ma petite Lolita n’est pas très motivée alors je la porte un peu.
Arrivées à l’arrêt de bus, il y a énormément de monde. Tellement de monde que j’ai bien peur qu’on ne puisse pas rentrer dans le bus.
Mais ouf, le bus arrive et je me rends compte que tout ce monde attend un bus pour Sognono qui arrive derrière.
Nous voilà embarquée dans notre bus, en route pour le débarcadère de Locarno.
Notre bateau est à 12h15.
Nous arrivons au débarcadère à l’heure.
J’hésite de prendre un aller-retour Locarno - Île de Brissago ou prendre le bateau pour Ascona au retour et prendre le bus ensuite.
Car le bateau de retour pour Locarno est déjà à 15h55 et le suivant a 17h45 alors que pour Ascona, il y en a un a 16h45.
Je tombe sur un très gentil monsieur qui parle bien français au guichet.
Il me dis que je peux prendre Locarno - Île de Brissago et île de Brissago - Ascona et payer un supplément si je décide de revenir sur Locarno.
Mais quand je lui présente mon Ticino ticket, il me dis qu’il va regarder si je n’ai pas meilleur temps de prendre la carte journalière avec le Ticino ticket . Il me dis que la carte journalière coûte CHF 29.00 alors que l’aller depuis Locarno et le retour sur Ascona me coûte CHF 27.00 et si je décide de revenir sur Locarno, je dois rajouter CHF 10.00. Je décide donc de prendre la carte journalière. Je lui achète donc une carte journalière + l’entrée à l’île de Brissago qui coûte CHF 4.90 avec le Ticino ticket.
Il me dis également que vu la taille à Lolita, elle ne paie pas et pas besoin de la mettre dans le sac.
Et nous voilà dans la fil d’attente pour embarquer dans notre bateau.
Ma petite Lolita veut absolument aller au lac mais ce n’est pas le moment.
Je vois que le téléphérique de Cardada est arrêté pendu à son câble au milieu de son trajet. Je me dis que je suis bien contente de ne pas être dans ce téléphérique car je n’aurais pas aimé ça.
Nous embarquons dans notre bateau. Il y a du monde mais j’arrive tout de même à nous trouver une petite place sur le pont.
En route !
Nous passons vers le village de Vira.
Puis de S. nazzaro.
Puis pour finir d’Ascona, avant d’arriver sur l’île de Brissago.
C’est drôle tous ces villages à flan de colline dans la montagne.
Nous voilà arrivées sur une des îles de Brissago, la seule qu’on peut visiter.
J’apprends qu’elle est jumelée avec l’île de Mainau, vers le lac de constance, que nous avons aussi visité toutes les deux, il y a quelques années.
Il y a énormément de monde. Je n’aime pas ça du tout. En plus j’ai chaud derrière mon masque que je ne compte pas enlever tant qu’il y a foule.
Mais c’est très joli !
Il fait chaud et ma petite puce n’a qu’une seule idée en tête, c’est aller se rafraîchir.
Nous nous arrêtons donc au premier endroit que nous trouvons.
En plus, ça permet de laisser passer la foule pour se retrouver plus tranquilles.
Nous en profitons pour faire également notre pause pic-nique.
Nous continuons notre balade.
C’est vraiment beau et on se croirait au bord de la mer.
Lors d’un arrêt sur une plage, je vois qu’il y a un pont suspendu en face. Enfin, je crois que c’est un pont suspendu.
Je ne résiste pas non plus à un petit bain de pied.
Je décide de m’arrêter au restaurant boire un petit coca bien frais et manger un petit truc.
Je décide finalement qu’on attendra le bateau de 17h45 pour Locarno car on est bien sûr notre petite île et en plus maintenant il y a moins de monde.
Nous allons sur la première plage où nous nous sommes arrêtées en arrivant et on passe un chouette moment remplis de câlins, seules au monde toute les deux.
Des moments comme je les aimes tant !!! Le bonheur !!!
Nous avons fait encore juste une petite balade sur l’île avant d’aller prendre notre bateau.
C’était fort agréable car il n’y avait presque plus personne.
A 17h45 , nous avons embarqué dans notre bateau.
Lolita a bien aimé regarder la vue.
Nous regardons s’éloigner cette jolie île où nous avons eu tant de plaisir à nous balader.
Dans le bateau, c’est beaucoup plus agréable qu’à l’aller car il y a beaucoup moins de monde et nous sommes pas serré les uns contre les autres.
Le bateau fait un premier arrêt à Porto Ronco.
Puis à Ascona.
J’avais soif et un peu faim aussi et je savais qu’on allait rentrer tard au camping. Dans le bateau, ils faisaient des croques-monsieur alors je me suis dis que ça pourrait faire l’affaire pour mon souper.
Je suis descendu 3 fois mais à chaque fois, il n’y avait personne au bar alors j’ai finis par laisser tomber.
Puis petit arrêt à San Nazzaro avant de mettre le cap sur Locarno.
Étant donné que j’avais la carte journalière pour le bateau, je me suis dis que se serait plus sympa de rentrer à Tenero en bateau.
Et ça tombe bien car le dernier bateau pour Tenero était à 18h50 et nous arrivions à 18h40 à Locarno.
Bien que je n’avais pas du tout envie de rentrer et serais bien restée un moment à Locarno, le temps de manger un truc et se balader un peu au bord du lac.
Mais allons-y, embarquons pour Tenero.
Le soleil est en train de se coucher et c’est magnifique.
Je n’aurais pas été contre faire un peu plus long car le trajet ne durait qu’environ 10 minutes.
Nous voilà arrivées sur la terre ferme à Tenero.
Ce soir, j’avais bien envie d’un fast food.
Il commençait à faire nuit et je n’avais aucune envie de me faire à manger dans la nuit.
Et puis j’avais envie de me balader un peu, je n’avais pas envie de rentrer au camping.
Nous avons donc marché un petit peu mais sans trouver de fast food.
Nous sommes rentrées au camping et mon repas fut des rœstis avec du thon. Bien oui quoi, pourquoi le thon on le met toujours dans les pâtes. Dans les rœstis ça va aussi.
En arrivant au camping, j’ai eu la bonne surprise de retrouver mes habits secs, sauf les chaussures.
Après souper, j’ai écrit cet article avec ma fidèle amie endormie dans mes bras.
Moment de bonheur !